Le collectif Pour Que Vivent Nos langues réunit plusieurs associations qui œuvrent pour la transmission et la préservation des langues régionales.
Le collectif a porté sur le terrain plusieurs avancées pour les langues régionales dont la loi Molac en faveur de la transmission des langues régionales.
Le collectif a été également présent lors des péripéties démocratiques du printemps suite à la saisine et la décision du Conseil Constitutionnel.
Dans cette continuité d’engagement et de revendications pour plus de reconnaissance et de moyens, le collectif a interrogé au début de l’année les candidats aux élections présidentielles sur les grands axes qui concernent les membres du collectif.
Le collectif Pour Que Vivent Nos Langues a toujours prôné l’ouverture et l’inclusion de toutes et tous dans ses engagements et ses revendications. Par conséquent, le collectif n’a pas souhaité consulter des candidats qui ne partagent pas ces valeurs de vivre ensemble.
A quelques jours du premier tour des élections présidentielles, le collectif a souhaité porter à connaissance de ses militants mais également du grand public, les positions des différents candidats. Nous espérons que ces réponses pourront apporter des éclaircissements pour leur vote de dimanche 10 avril.
A ce jour, nous pouvons regretter l’absence de réponse de plusieurs candidats, dont le président sortant qui est intervenu mardi en Bretagne sur le sujet des langues régionales mais sans répondre à nos interrogations.
Détails des réponses :
Les réponses ont été synthétisées dans le tableau ci-dessous :
Légende :
Vert : favorable
Jaune : partiellement favorable
Rouge : défavorable
Gris : n’a pas répondu à la question